Vidéo – Foi et identité – Table ronde – Colloque 2023

2ème colloque sur la messe traditionnelle – Table ronde : Foi et identité

Cette table ronde a été donnée le samedi 23 septembre, à la Maison de la chimie – Paris, et est animée par Monsieur Adrien Renouard.

Les vidéos des autres conférences seront progressivement mises en ligne sur notre chaîne Youtube :

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2 réponses

  1. Une religion, notamment telle que le christianisme ou l’islam, doit pouvoir compter sur un écosystème anthropologique et civilisiationnel, ou sur un environnement culturel et sociétal un tant soit peu compatible avec son maintien en vie, ou favorable à son maintien en vie, sinon elle est condamnée à entrer en résistance, à incarner une alternative bénéfique, contrariante ou dissidente, plus ou moins globalisante, pour pouvoir survivre.

    Face à la sécularisation, et plus encore face à la postmodernité, il est donc sûrement nécessaire, mais sûrement pas suffisant, que le catholicisme devienne « identitaire », quitte à ce qu’il le devienne aux yeux de ses contempteurs ou de ses détracteurs, et il est proprement stupéfiant que les papes du Concile et de l’après-Concile aient compris à peu près le contraire, et aient contraint les fidèles à adhérer à une chimère « fraternitaire » ou oecuméniste.

    A partir de là, il convient d’ajouter aussitôt
    – que la composante liturgique ne devrait pouvoir être que la deuxième composante de ce catholicisme « identitaire », car il ne faudrait pas que le catholicisme traditionnel, nolens volens, s’expose voire succombe à la tentation de réduire le christianisme catholique à une orthopraxie liturgique,
    et
    – que la composante dogmatique devrait pouvoir être la première composante du même catholicisme, face aux diverses erreurs sur Dieu, sur la révélation divine, sur la Parole de Dieu et la conscience de l’homme, sur la religion chrétienne et les diverses religions non chrétiennes, sur la foi catholique et les diverses confessions chrétiennes non catholiques, etc.

    Or, force est de constater que, au sein des communautés et des fraternités catholiques traditionnelles, la prise en compte de la composante dogmatique de la résistance identitaire, en tant que composante primordiale, notamment face au relativisme et au subjectivisme en matière religieuse, est rarement à l’ordre du jour.

    Il est vrai qu’il est nécessaire de se mettre courageusement à l’école de Saint Thomas d’Aquin pour pouvoir effectuer cette prise en compte, d’autant plus que le consensualisme fraternitaire fonctionne non seulement à l’adogmatisme, mais aussi à l’anti-thomisme, avant tout sinon seulement en ce qui concerne les choses de la foi…

  2. « C’est grâce à Dieu, en effet, que vous êtes dans le Christ Jésus, lui qui est devenu pour nous sagesse venant de Dieu, justice, sanctification, rédemption.

    Ainsi, comme il est écrit : Celui qui veut être fier, qu’il mette sa fierté dans le Seigneur. » ( 1Co 1, 30-31)

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